Suite et fin de ce récit d’une partie expérimentale où la France a blitzé en même temps que l’Allemagne, essayant de profiter immédiatement de l’éloignement de la Wehrmacht tandis que celle-ci était occupée en Pologne. Malheureusement, Varsovie n’a pas résisté longtemps et le Troisième Reich s’est ressaisi … à la vitesse de l’éclair !
Été 1940 (vue coté allemand)
Au début, deux tours calamiteux : j’ai avancé imprudemment mes chars et cela va être fatal à une division. J’ai fait de même avec un croiseur lourd et il a été torpillé. Dans l’Atlantique, mes sous-marins sont quasi tous détruits. J’ai voulu compenser par l’invasion des Pays-Bas, avec un assaut mal préparé, qui amène la Belgique à nous déclarer la guerre, que de fautes !
Quelques semaines plus tard. Encore un sous-marin perdu, mais la Hollande a capitulé. L’Italie est entrée en guerre, ce qui ne change pas grand chose à la situation de la France vu le peu de troupes italiennes. Mis à part pour amoindrir ses ressources disponibles et son moral national.
Seul rayon de soleil pour l’Allemagne, trois recherches ont abouties… A ce stade du jeu la recherche scientifique n’a pas encore beaucoup d’impact, la plupart des unités n’ayant pas le temps de bénéficier des coûteuses améliorations technologiques (sauf en cas de bonus passif). Ces dernières seront plus importantes lors des batailles à venir, à l’est en 1941.
L’expérience acquise au combat par les troupes est elle un bonus, mineur certes, mais à l’effet plus immédiat. Sauf lorsqu’une unité subit des pertes et doit être renforcée, l’expérience acquise se perdant ainsi facilement.