Il est des DLC qui se suivent… Et se ressemblent, mais sans que cela ne soit une mauvaise chose. Ainsi, revenons aujourd’hui sur un contenu sorti à la fin de l’année dernière, mais dont nous n’avions pu parler avant. Or, comme le titre l’indique, il fait directement suite au DLC Blitzkrieg, centré sur les années 1939-1941. Là, on nous permet de suivre l’armée allemande et ses alliés à l’assaut de l’URSS.
Des scénarios très fouillés
Je l’évoquais en introduction, après l’épisode Blitzkrieg (voir cet article) qui se concentrait sur la campagne de Pologne et l’attaque à l’ouest de l’armée allemande, Panzerkrieg s’intéresse plutôt aux années 1942-1943 et au front de l’est. Celui-ci resta d’ailleurs le principal de toute la Seconde Guerre mondiale et vit 80% de la Wehrmacht y être engagés, face à une Armée Rouge de mieux en mieux maîtrisée et qui, finalement, emporta la victoire.
Le DLC, lui ne va pas jusque-là et, à travers douze scénarios bien ciselés permet de revivre les principales batailles jusqu’à l’affrontement titanesque de Koursk à l’été 1943. La plus grande bataille de chars de l’histoire marque surtout la perte définitive de l’initiative à l’est pour l’armée allemande et semblait une bonne conclusion à ce DLC qui souhaite mettre en avant les divisions blindées allemandes, comme son nom l’indique.
Toutefois, avant de connaître des sueurs froides dans la plaine russo-ukrainienne, vous devrez passez par le saillant de Rjev, la poche de Demiansk, le siège de Kharkov, celui de Sébastopol en Crimée, qui fut très difficile, et la fameuse bataille de Stalingrad ! Autant dire que les heures de jeu sont au rendez-vous et que la physionomie du front de l’est est bien rendue, entre encerclements géants en 1942 et terribles défaites infligées aux Allemands. Là, bien gérer ses unités blindées sera décisif car les avancer trop imprudemment peut rimer avec leur perte définitive.
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