J’ai bien songé à lancer mon armée du précédent opus, Red Steel, dans cette tempête. Pour cela, comme pour son concurrent direct, finir la campagne restait une condition obligatoire et j’en étais loin… J’ai tout de même essayé et ai pu ainsi jauger les différences entre les deux moutures.

A l’Est, rien de nouveau…

Alors, je ne vais pas tergiverser, je n’ai rien vu de nouveau ! Enfin, si on omet les scénarios ou les quelques matériels supplémentaires, nous sommes dans l’exact prolongement de l’opus précédent. Toutes les qualités et défauts, comme, selon moi, la gestion de la guerre aérienne sont toujours présents. Je ne vais pas revenir sur le système de jeu archi connu qui est basé sur le vénérable Panzer General.

Red Storm se focalise sur la dernière phase de la guerre, celle où l’Axe était cuit et où le rouleau compresseur soviétique écrasait tout sur son passage. Et justement, ce rouleau compresseur, c’est nous !

Nous nous retrouvons pour commencer du côté du saillant de Koursk pour repousser la dernière offensive majeure de l’Axe à l’Est. La première chose qui marque est le nombre d’unités avec cette multitude de blindés, ensuite la taille de la carte en adéquation, immense.

Pour plus d’informations sur Order of Battle : Red Storm, voyez cette page chez l’éditeur ou celle-ci sur Steam. A lire également nos articles sur les deux précédents DLC de cette trilogie, Order of Battle – Red Star : une extension quatre étoiles et Order of Battle : Red Steel, l’acier soviétique sera-t-il à la hauteur ?

Order of Battle: Red Storm
Koursk et ses tigres d’élite, les unités de la Waffen SS ont une tête de mort comme symbole d’appartenance pour les différencier de la Wermacht qui arbore une croix plus sage, bien que la représentation de la svatiska ou croix gammée soit autorisée depuis août 2018.
Order of Battle: Red Storm
Réussite d’un objectif secondaire, c’est en direct sur BFMTV ! Joukov dirige personnellement une unité de KV1 sur le terrain, quoi de plus normal ?
Order of Battle: Red Storm
Un bug ! Très rare, mais à l’écran vous avez empilé sur le même hexagone des parachutistes soviétiques et des Panzer IV allemands !

Cet article nécessite un abonnement pour être lu dans son intégralité. Connectez-vous depuis la page Mon compte, ou consultez nos offres d’abonnement pour adhérer à notre gazette.

 

Points positifs et négatifs

  • Nombreux scénarios.
  • Version Française
  • Rapport qualité / prix.
  • Pas de réelles nouveautés.
Notes
Multimédia
75 %
Interface
75 %
Gameplay
70 %
Article précédentPort Royale 4 : nouvelles vidéos
Article suivantCrusader Kings III : sur les traces du deuxième épisode ?
order-of-battle-red-storm-lultime-volet-du-triptyque-sovietique<b>Multimédia</b> : toujours plaisant..<br /> <b>Interface</b> : toujours inchangée, ce qui semble normal pour une extension.<br /> <b>Gameplay</b> : avec le temps, les défauts sont plus visibles <br /><br /> Avec ses quinze scénarios, Red Storm est bien une tempête de challenges diversifiés, mais son manque d’évolution pèse de plus en plus sur son attrait initial. Il reste toutefois pour les adeptes un incontournable.

2 Commentaires

  1. Des précisions malheureusement négatives. J’avais eu un bug avec la superposition d’une unité russe et d’une unité allemande, d’autres sont apparus. Je n’ai pas pu jouer le scénario optionnel de guérilla, impossible de lire les objectifs. Je pense que celui-ci n’existe pas en version anglaise. De plus, les développeurs sont en train de travailler sur un autre qui ne vous touchera surement pas. Si vous n’arrivez pas à terminer le scénario finlandais rapidement, comme moi, vous ne pourrez jamais le terminer ! Vous devrez utiliser un code de triche (cheat) pour y parvenir. Peut-être que lorsque vous lirez cet ajout, tout cela aura disparu.

  2. Super jeu pour jouer en PBEM. En solo c est très très bon aussi ( Je n ai pour le moment que Endsieg) mais les tours de l ordi sont vraiment trop longs…c est dommage. Pour le moment c est mon « Panzer General like » préféré.

Les commentaires sont fermés